Description: Il n'y a aucun objet dans la pièce. La lumière est haute et inaccessible. Le sol est en bois franc et les mur aussi. Nourriture/Eau: Aucune eau, aucune nourriture. Conditions: Température moyenne Infos: Vous êtes en sous-vêtement. Vous êtes deux. Maintenant, battez-vous pour votre vie. Tuez.
Invité
Sujet: Re: Salle Colosseum Jeu 6 Juin - 18:06
Arrivé enfin dans la pièce finale, j'avais déjà hâte d'en sortir. Elle était déserte. Aucun objet pour tuer ou pour blesser. Va falloir s'entre-tuer à mains nues. Youpi.. J'aurai aimé pouvoir faire ça vite fait bien fait avec une hachette dans la tronche, mais bon, on a pas tout dans la vie. Il était devant moi. Il avait probablement mon âge et il avait l'air quand même costaud. Je l'étais plus, à cause de mon entraînement, mais il sera coriace, je le sens. Plus difficile que le premier dans le cosmos ou le petit, ou bien les deux autres que je venais d'exterminer. Devant moi, il avait l'air à se tenir prêt. Je me mis aussitôt en position d'attaque.. En fait, plutôt de défense, vu que j'allais attendre qu'il me charge en premier, juste pour voir ce qu'il sait faire. Mes blessures pansées et guéries, mon énergie qui me restait et le mental d'acier que je conservais, j'étais sûr de gagner. J'allais gagner, c'était obligé. Jan, car oui je me rappelle de ton nom, Jan, ne t'inquiète pas, tu va périr de ma main.
Je m'avançai donc, tranquillement. Je ne m'approche pas trop, j'attend qu'il montre un signe qu'il s'avancera. De toute façon, à cette distance, ce sera facile la contrer, enfin, j'espère. Puis, une pensée me vint à l'esprit.. Non, je vais l'attaquer. Voilà. Vaut mieux en finir vite. Guetant ses moindres mouvements, je réussi à m'approcher de quelques pas subtilement. Bizarrement, on se regardait très sérieusement, et gravement. On tournoyais en rond, attendant qui va attaquer le premier. Mais ce sera moi. Je m'élançai alors vers lui, et essaya de lui assener un violent coup de poing vers son nez. Je mis mon pied gauche à l'arrière de moi pour être en angle.
-- Flashback --
« Sache que si tu es face à un homme, ou bien à une femme, ta plus grande faiblesse est la famille. Tiens toi alors en angle puis tout va bien aller. »
- Fin Flashback --
J'attendais la vengeance du coup de poing, même si ce coup allait être le moins pire que je lui donnerai. Je suis prêt à toute éventualité, mon agilité et ma force me seront fructueux.
-- Falshback --
« Les armes n'est pas tout, en combat, le combattant lui aussi doit être aiguisé. »
-- Fin Flashback --
Ça y était. C'était le moment. Je vais tuer pour probablement la dernière fois et je vais gagner pour m'enlever le poid que tout le monde me met sur les épaules. Enfin, cette arène qui m'ennuie, se terminera. Enfin.
Invité
Sujet: Re: Salle Colosseum Ven 7 Juin - 14:36
Je rentre dans la salle. Où le dernier combat de la deuxième édition des Hunger Games va se passer. Sol et parois en bois. Aucun objet. Pas de nourriture. Pas d'eau. Rien du tout. Sauf une lumière. Et lui. Mon adversaire. Le carrière du Sept. Ils veulent du combat. Du sang. De la brutalité. Et ils l'auront. Je dois gagner. Je ne vais pas me faire tuer par ce faux-carrière. Surtout qu'il n'a plus d'armes. Et que j'ai mes chances. Même s'il est plus entraîné, je peux réussir. Il suffit juste que je vise des points sensibles. Et Boom. Adieux carrière. Il va retourner en enfer. Tuer ne m'effraie plus. Non que tuer deux personnes directement et une indirectement m'ait privé de toute humanité et m'ait fait devenir une machine à tuer. Oh non, loin de là. Mais je n'ai plus peur de tuer pour ma vie. C'est soit moi, soit lui. Et je vais sortir vivant de là. Même s'il est un carrière bien entraîné. J'ai ma chance de m'en sortir de ce corps à corps. Plus que s'il avait un arme. Il a probablement mon âge. Plus fort, probablement. Mais même les plus doués peuvent mourir. Et ce sera son cas.
Il avance. On reste à se regarder, comme des chiens de faïence. Je vais lui laisser le plaisir de commencer la danse. De toute façon, il ne va pas réussir à me tuer en un coup. Ce serait assez... impossible. On tourne en rond. Chacun attendant l'autre. Il s'élance ensuite vers moi, pour me donner un coup de poing. Or, étant donné le laps de temps depuis lequel j'attends qu'il m'attaque, ça ne me prend pas de surprise. Je me baisse, et sa main rencontre mon épaule, sans provoquer trop de dégâts. En même temps, ma main s'envole de mon côté, pour essayer de rejoindre son ventre. En même temps, je garde mon autre bras près de la gorge, au cas où. Je suis prêt. Prêt à le tuer pour en finir finalement avec tout ça.
Invité
Sujet: Re: Salle Colosseum Ven 7 Juin - 19:55
Il avait réussi à éviter le coup de poing en se penchant. Malin, mais ce n'était qu'un échauffement. En se relevant, il essaya de m'en donner un autre, il réussi, mais au même moment, dans un élan, j'avais entouré son cou de mon bras. Tout était fait minutieusement. J'avais profité de son inattention quand il se relevait pour le prendre en clé et d'un pas rapide, me positionner derrière lui. Tout était passé si vite, en moins de deux, nous étions sur le sol. Panem entier avait du retenir son souffle lors de la chute. J'avais carrément décidé de tomber et de prendre tout l'impact. Mais, j'avais des techniques. J'avais amorti le choc à l'aide d'une brève roulade de dos, en pliant mon dos. Sa ne paraissait pas aux yeux des téléspectateurs, mais pour moi, je n'avais aucune douleur, ou presque. Donc, sur le sol, avec mon ventre qui avait encore un peu mal et un garçon que je prenais pas le cou en clé avec mon bras droit, je mis mes jambes par dessus les sienne et les bloqua, pour qu'il ne puisse plus bouger. Rapidement, je pris mon bras gauche vers l'intérieur de son coude gauche, pour retenir son bras et empoigna solidement la peau son ventre, en y entrant mes ongles férocement. Je ne devais pas lâcher prise. Mon bras, autour de son cou, l'empêchait de bouger, donc de me mordre. Aussi, sa tête étaient fermement sur ma fin de torse, pour ne pas qu'il bouge. Ses jambes ne pouvaient plus bouger par la pression des miennes qui étaient repliées. Son bras gauche, bloqués par le mien, ne peut même pas atteindre mon propre bras droit. S'en était fini de lui, il ne pouvait plus rien faire. Sauf bouger son bras droit.
Sa peau était humide. J'étais fatigué, mais mes quelques heures de sommeil suffiront pour le vaincre. Ma force était supérieur à la sienne.Je m'étonnais qu'il ne soit pas plus fort.. Peut-être que ses combats inférieurs l'ont épuisé. Dans tous les cas, c'est parfait pour moi. Tous mes muscles étaient à leur maximums, ils hurlaient de l'intérieur. Je forcais tout mon corps. Allant de mes pieds jusqu'à à mes côtes et le reste de mon corps. L'adrénaline était a un point inouï et n'importe qu'elle douleur ne me ferais lâcher prise. Il est piégé. Voilà ce que ça fait, baisser sa garde. Petit homme. Adieu !
-- Flashback --
« La prise du boa, comme l'appelait mon oncle, est une prise au corps à corps très efficace. La seule faille de cette prise, est son bras droit, avec lequel il peut faire ce qu'il veut. Mais tu sais, tous combattants sont endurants. Après, ce n'est qu'une question de temps avant que son âme ne meurt. »
-- Fin du Flashback --
Invité
Sujet: Re: Salle Colosseum Sam 8 Juin - 17:23
Je réussis à le toucher au ventre, mais, ensuite, il m'entoure le cou avec son bras. Sans que je comprenne le pourquoi du comment, je me retrouve par terre, au-dessus de lui, avec ses ongles dans mon ventre, les jambes et un bras bloqués. Il faut que je pense. Agir de façon intelligente. N'essayer pas des coups qui n'abrutiraient à rien. Frapper les points sensibles. Soit, une quelconque partie de son corps susceptible de faire assez mal pour que je puisse en profiter. Le tuer, pour pouvoir sortir de cet enfer et retourner dans le Neuf. Les ongles plantées dans mon ventre font mal, mais pas assez pour me faire perdre la raison. Je peux essayer de l'attaquer avec mon bras droit, ou bien... Son bras me serre le cou, mais pas le tête, que, elle, peut bouger. Je relève un peu ma tête, avant de l'écraser sur son visage. Au niveau de son nez. Je sens un bruit pas trop rassurant pour lui. Et sa tête a probablement heurté le sol. En même temps, mon coude droit vient frapper ses côtes. Je sens son emprise diminuer, et j'en profite pour me dégager. Je l'ai probablement blessé, car il n'a pas réussi à se relever, avant que je me relève moi-même, après m'être libéré. Et en profitant de ça, je lui saute dessus, le coude en avant. Et pour finir, je commence à l'étrangler, en serrant de toutes mes forces. Il peut essayer de m'attaquer. Mais je ne vais pas lâcher. Je vais résister. Je peux réussir. Je peux gagner. Je peux le tuer et en finir avec tout ça. Honorer Eva et Jakob. Montrer au monde que les carrières ne sont pas in-tuables. Que je peux gagner.
Invité
Sujet: Re: Salle Colosseum Sam 8 Juin - 20:20
METTEZ LA MUSIQUE !
Vous savez ce quand c'est le vide ? Ce vide, à votre intérieur qui gruge chaque parcelle de vie, chaque parcelles de sentiments ? Ce vide qui vous engorge d'une fois pour finalement vous engoufrer dans le néant. Comme une ville qui se fait envahir par des nuages noirs en colères. Plus qu'une fois, mon coeur s'est détruit par ce vide anéantissant. Plus d'une fois, mon corps à été propice aux querelles. Ma tête, intelligente, certes, n'a su proclâmé ce qui aurait du m'arriver depuis le tout début. Les anges ne sont pas gardiens et les démons ne sont que frivoles. La peur se lit dans mon âme comme une goutte qui tend son être à la liberté. Cette goutte qui viens même tomber sur votre fenêtre de chambre pendant que vous lisez ceci.
-- Flashback --
« Pourquoi as-tu fait ça Bartholomew, pourquoi ? », cria-t'elle.
Je n'avais que subtilement effleuré un vase ancien qui était tombé, puis qui avait brisé. Je n'avais pas conscience de mes actes à cet âge. Malgré que je ne manquais de rien, je manquais de tout.
« Je, je ne sais pas maman, c'étais un accident », répondis-je, avec peur.
Elle ne manqua pas de me fouetter avec la ceinture de mon père. Des marques rouges sur mes bras, mes jambes, mes fesses, mon dos et même mon visage, j'en avais tous les jours. Des marques bleues, j'en avaient des semaines durant. Même desfois, j'avais des marques noires qui restaient des mois. Mais ce qui me faisait le plus mal, c'était cette ceinture. Le son que pouvais produire cette ceinture, c'est ça qui me faisait peur.. qui me faisait mal.
- Fin Flashback --
Quand des évènements vous projettent dans des zones inconnues de votre cerveau. Ces zones où tout semble si noir, ou si blanc. Cette zone de confort, qui n'est qu'ironiquement subjecte en vous cachant des choses complètement noires. Les épines des sentiments de velours qui vous écorchent. Qui vous font mal. Celles des roses qui sucent votre venin de bonheur. Quoi de plus malicieux qu'une horde d'émotions ténébreuses et saniteuses pour vous enlever le goût de tout.
-- Flashback --
Voilà les moments les plus effroyables. Ceux quand j'entend la ceinture de mon père. Le bruit de celle-ci. À chaque fois, à chaque coups, je sais que c'est pour me faire du mal. Pour m'humilier et m'enlever mon enfance. À chaque fois j'en souffre et j'en perd ma joie, petit peu, par petit peu. Je n'ai que huit ans, et ma vie de cruauté est déjà commencée.
-- Fin Flashback --
Quand rien ne sert plus. Vous cherchez votre souffle dans toute cette marée noire inconnue. Quand la pluie vous martèle pendant votre marche à la mort. Les cheveux collés à votre peau, car ils ont peur que votre âme quittent celle-ci pour fuir vers un monde de bonheur. Votre recherche pour enrichir vos connaissances n'ont plus de volonté et vos moeurs ne veulent plus subsister. La joie n'ose même plus vous toucher. Quand les ténèbres vous abritent.
-- Flashback --
Le son de la ceinture de mon père qui se détache. Le petit cling-cling. La nuit, quand ma mère dort, ou pas. Quand mon père ne me réveille plus avec de simples câlins pour me souhaiter une bonne journée. CE sont, qui m'horrifie par la douleur qu'elle me procure. Par la chasteté que n'aurait jamais plus. Entendre mon lit craquer sous le poid du mouvement et mes doigts, qui à force de tenir trop fermement mes draps, deviennent blancs. Les cris que j'aurai aimé pousser par ma la douleur que me procurait l'humiliation, mais bloquée par la simple main que mon père tenait devant ma bouche. Tous ces bruits m'haïssais, tous ces espoirs que je me donnais ne me furent jamais donnés. Tout pour détruire ma vie dès mes huit ans. Tout pour que, au final, ce soit moi qui souffre.
- Fin Flashback --
Quand la mort vous berce dans ses bras. Quand vous sentez que le temps vous ai compté. Les mains de la faucheuse vous tiens à la gorge, pour vous emmener avec elle. Le sort que Dieu vous a donné. Le chemin que vous avez dû traverser. Plus aucune émotion ne vous reste, elle ont été détruites plus tôt. Comment vouloir vivre pour une peine non-soignée ? Peut-être devriez-vous continuer, mais rien ne vous empêche d'arrêter. Allez-vous abandonner ou continuer cette douleur incessante. Vous avez fait votre choix. Vous avez laisser votre coeur partir dans les épines des roses. Mais rendu-là. Vous ne voyez rien. Vous ne voyez personne. Jamais personne ne vous a été chère. Mais, que voyez-vous.. La mort n'a pas attendu votre accord.
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Sujet: Re: Salle Colosseum Sam 8 Juin - 20:30
Bartholomew Dawkins est mort aux mains de Jan M. Bluerock. Une grande porte apparu donc sur l'arrière du grand vainqueur. Rendu de l'autre côté, il sera attrappé par des dizaines de pacificateurs qui vont l'emmener un lieu sûr. Mesdames et messieurs. Applaudissez le grand et l'unique JAN M. BLUEROCK DU DISTRICT 9, LE GAGNANT DES DEUXIÈMES HUNGER GAMES !
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Sujet: Re: Salle Colosseum Dim 9 Juin - 5:11
Finalement, le son du coup de canon arrive à mes oreilles. Suivi d'une voix. «MESDAMES ET MESSIEURS, LE GRAND GAGNANT DES DEUXIÈMES HUNGER GAMES: JAN MATTI BLUEROCK!» J'ai réussi. J'ai tué le carrière du Sept. Je suis le dernier survivant de cette arène. Mes mains lâchent le cou de ma dernière victime, et je me retourne vers la porte qui vient d'apparaître. Mes pas resonnent dans la salle en bois. Désormais, tout est silencieux. Le dernier tribut mort, il n'y a que moi. Et des cadavres. Qui ne vont plus jamais profiter de la vie. Ce silence de mort me rappelle que tous ces jeunes sont morts pour que le Capitole s'amuse. Pour que je vive, en quelque sorte. Mes jambes se dirigent vers la porte, prêtes à un nouveau défi. Jusqu'à que mon cerveau réalise qu'il n'y a personne à tuer, derrière cette porte. Et que ça va me torturer pendant toute ma vie. Je vais toujours voir les Jeux. Et encore pire, devoir aider les tributs du Neuf. Devoir le regarder défier la mort contre des autres tributs. Les regarder mourir, probablement. Je sens la fatigue s'installer dans mes membres. La fatigue cumulée en ces quatre jours ici. Elle est si forte que j'arrive à peine à ouvrir la porte, avant de tomber, et de me faire attraper par des Pacificateurs, qui m'emmènent... quelque part. Je ne sais pas où. Mais tant que c'est dehors d'ici, ça me va. «Eva...» Ensuite, je tombe dans les pommes, et tout devient noir.