Invité
| Sujet: You can burn in hell, Capitol ¤ Alex Jeu 30 Mai - 21:46 | |
| Je courrais, courrais de toutes mes forces, mais j'étais endurant. Parmis tout ces grands arbres, la route était quelque peu sinueuse, mais je ne m'en inquiétait pas outre-mesure. J'avais eu le droit à absolument tout les entraînements que l'être humain peut imaginer. Au moins, ça allait me servir, toutes ces années d'entraînement acharné. Je ne voulais pas rester seul, et surtout, sans armes. Malgré mon corps d'enfer et mes muscles d'acier, un tribut avec une arme viendrait à bout de moi assez facilement. Je courais, luttais, me battais pour ma survie, et celle de mes camarades. J'espère qu'un sponsor saura reconnaître en moi le potensible vainqueur, bien que dans ma tête, je ne sois pas dutout comme un carrière. Enfin bref, là n'était pas la question. Je me devais de courir, encore et toujours. De retrouver Cora. De retrouver Vaïo. De retrouver mes partenaires dans cette arène, mes coéquipiers. Je savais qu'ils survivraient au bain de sang, enfin je l'espère. Je ne tenais pas à voir du sang maintenant, vraiment pas. Je découvrirais peu à peu cette arène. À présent, ce n'était que forêt et verdure. J'étais essouflé, je commencai donc à marcher quelque peu. Mais pas longtemps, je voulais absolument que personne ne me rattrape. Je n'y tenais pas vraiment, mais vraiment pas. Je ne voulais pas mourir de la main d'un de ces idiots du Un, ou du Deux. Le gars du Quatre, j'avais pas eu trop l'occasion de le voir, mais je ne m'en inquiétais outre-mesure. C'était le moins dangereux à mes yeux. Le type du Deux et la fille du Un avaient l'air de véritables psychopathes. Mais il n'en demeurait pas moins que j'avais la même carrure et force physique qu'eux. Je n'étais pas à compter pour battu, même si je n'avais pas d'armes. J'ai plus d'un atout dans mon sac, et ils le découvriront à leurs dépents, très très vite. J'avais une bonne alliance, une alliance solide, basée sur la confiance. Eux, pouvaient s'entre-tuer à tout moments. C'est une des raisons principales du pourquoi je ne souhaitais pas être avec eux. Si j'aurais voulu, j'aurais pu changer ma façon de penser en deux secondes et quart, mais je n'adhère pas à leur principe, c'est tout. J'avais marché un bon coup, si bien que je recommencai à courir, et la vue de la lisière de la forêt me motivait plus que jamais.
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