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 Tell me yes, honey → Grant.

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MessageSujet: Tell me yes, honey → Grant.   Tell me yes, honey → Grant. EmptyMar 16 Juil - 19:42

Les entraînements allaient commencer, et franchement, Andie n’avait aucune envie d’y aller. C’était nul de devoir s’entraîner pour pouvoir épater les juges. Elle, elle y allait au feeling, si elle réussissait, cool, sinon, pas grave. Ce n’était pas la fin du monde d’avoir un 1 sur 12. Ce n’était que des chiffes.  Ca ne prouvait pas la vraie capacité, aux yeux de la blonde. Mais dans tous les cas, elle devait sortir de son lit si confortable et partir suer comme un porc aux entraînements, oh dieu. Mais. Car il y a toujours un mais, la demoiselle était heureuse, car, durant ces jours au Capitole, elle allait réaliser son rêve de petite fille : rencontrer ce fameux Grant. Et oui. Lors de la première édition des Hunger Games, la jeune Eisenberg adorait littéralement Grant et rêvait de le rencontrer. Si beau, si drôle, si fort. Bref, elle était fan de cet homme.

Andie y était, ces fichus entraînements. Quelle joie d’y être. Elle regardait les tributs s’entraînaient, afin de savoir où ils excellaient. Elle fixait surtout ces fameux carrières, car dans l’histoire, la plupart étaient des adversaires de taillent. Donc il fallait absolument qu’elle sache où ils étaient les meilleurs. Comme ça, elle pourra les devancer.  

Elle balayait la salle du regard, fixant les autres suaient comme des animaux en chaleur. C’était horrible. Andie, elle, ne faisait pas grand-chose afin de sentir bon. Mais, elle décida quand même de jouer le jeu et vu une belle hache au loin. Une arme blanche. Die était la reine pour les armes blanches, c’était là ou elle excellait le plus, là où elle était indétrônable. La demoiselle décapita quelques mannequins à l’aide de la hache, mais, au loin, elle vu un physique qualifier à ses yeux d’Apollon. C’était le vainqueur de la première arène. C’était Grant. Elle souriait, comme une conne, mais son sourire disparut en voyant l’air moqueur de ce dernier. Il se prenait pour qui il se prenait ? C’est donc, sûr d’elle qu’Andie alla voir Grant. « Pourquoi cet air moqueur ? » dit-elle froidement. « Et, qu’est-ce que tu fiches ici ? Regardez des tributs s'entraînaient n'a rien de très passionnant. » ajouta la demoiselle. « Puis, tu n’es pas avec tes copains les mentors ? » Durant la première arène, si elle s’était vue, là, maintenant, la blonde se serait fichu une belle gifle dans la gueule. Même si de face elle faisait la fille froide, au fond, elle trouvait toujours Grant sexy. Ses yeux étaient trop magnifiques.
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MessageSujet: Re: Tell me yes, honey → Grant.   Tell me yes, honey → Grant. EmptyMer 17 Juil - 1:21


C'était le moment de franche rigolade de la journée. Ou autrement dit, l'heure de l'entraînement. Je ne me lassais jamais de voir ces petits gnomes s'agiter dans tous les sens aux ateliers. Quasi-aucun autre mentor ne prenait la peine de descendre. Moi si. Mais c'était plus pour me foutre de la gueule des tributs que pour enseigner à mon élève. De toutes façons, si Bartholomew Dawkins avait perdu, qui pouvait gagner au district sept ? D'ailleurs, depuis quelques années, les blondes sulfureuses faisaient un défilé dans mes locaux. Elena, Cassandre, Penny (dont le côté sulfureux était déglingué par sa folie), Jazzlyn puis Eireann. Seul Enry venait casser la chaine. Et encore. On aurait pu le considérer comme une blonde celui-là. Il était mort de manière tellement stupide que c'en était risible. Ma foi, c'était agréable pour les yeux, mais pas trop pour la tentative de victoire.

Enfin bref. Par la même occasion, je pouvais savourer mes tous nouveaux implants à la jambe. Ils me permettaient de marcher sans canne. Ils m'avaient bien eu ces connards de médecins : "désolés, on ne peut rien faire pour vous monsieur O'Connor". Et qu'est-ce que je voyais à la fin de l'édition six ? Le gagnant du un avec une toute nouvelle jambe, marchant belle et bien alors qu'on venait juste de la lui couper dans l'arène. D'ailleurs, cet unijambiste était devenu mon "ami", si on pouvait appeler ça comme ça, et c'était lui qui m'avait aidé à obtenir ces implants à la con. Alors évidemment, ça tissait des liens. Mais j'évitais de trop m'en approcher. Une fois par semaine comme fréquence de visite, ça suffisait largement. Il me rabâchait sans cesse son histoire à deux balles avec Alix Eisenberg. La meuf du district deux lors de son édition. Et encore plus ces jours-ci, depuis que sa blondasse de sœur était arrivée au Capitole pour participer à l'arène neuf. N'empêche, j'avais vu sa face et surtout sa plastique... Et je devais dire qu'elle était plutôt canon.

D'ailleurs, Lorsque j'arrivais dans la salle, je tombais nez à nez avec elle. Enfin, pas exactement nez à nez. Elle s'entraînait à la hache. Je me contentais d'observer et de rire de manière narquoise. Bouarf. Elle n'était pas si mauvaise comparée aux autres. Mais je restais de loin le meilleur manieur de haches de toutes les éditions. Oui oui, les fleurs étaient gratuites. On me payait même pour les prendre, à ce stade. Bartholomew aurait pu m'égaler. Seulement, il n'était plus de ce monde. Quel dommage ! Haha.

Je la regardais sagement se rapprocher de moi. Elle avait des airs farouches mais j'étais sûr que ce n'était qu'une petite sainte-nitouche de pacotilles. Elle déblatéra une première question qui se voulait cinglante suivie d'une pléthore d'autres interrogations. Je commençais donc par le commencement, en répondant like a flower. « Et pourquoi pas, Barbie ? Tu te sens visée peut-être ? » Beh oui, j'aurais très bien pu me foutre de la gueule du petit gnome derrière elle ou de la potiche un peu à droite. « Pour information, j'ai le droit de poser mon cul où je veux, quand je veux. D'ailleurs, regarder les nains s'entraîner est plus divertissant que tu ne le penses. Suffit de voir la crise d'hystérie que tu viens de me piquer. » Un sourire ironique s'installa sur mes lèvres alors que je venais tout juste de terminer ma phrase. « Pour ta dernière question, soit ce sont des ivrognes, soit ce sont des fervents repentis de mes fesses du genre "Oh mon dieu, j'ai osé tuer ! Je ne mérite pas de vivre !". Alors non, je ne traine pas avec mes "copains" les mentors. » Répondis-je d'une manière mi-sarcastique, mi-sûr de moi. Il n'y avait qu'à prendre les exemples de Nathan & de Alex : l'ivrogne et le calimero dans toute leur splendeur. Personnellement, mes remords avaient duré deux semaines à peine et s'étaient envolés avec les mauvais souvenirs de mon édition. C'était le passé. Pourquoi se trouer le cul pour des putains de fantômes ? Autant profiter de la vie.

« Sinon... C'est comme ça que ça s'utilise une hache. » Je fis quelques pas, me saisis d'une hache au passage et l'envoyais valser de sorte à ce qu'elle décapite cinq mannequins et vienne terminer sa course fichée dans une cible. Bien au centre. Un peu de frime ne faisait pas de mal. D'ailleurs, après ma victoire, j'avais continué à m'entraîner pour me maintenir en forme. Alors depuis, je connaissais de nouveaux "trucs". Je me retournais vers la blonde. « Au fait, c'est quoi ton jolie petit prénom, Barbie ? » De toutes façons, j'allais continuer à l'appeler Barbie. Je donnais des surnoms à tout le monde. En fait, j'avais une très mauvaise mémoire des prénoms. Mais bon. C'était pour la forme. Histoire de ne pas passer pour un total malotru. Je connaissais déjà son patronyme. Eisenberg. Puisque Nathan me l'avait rabâché des milliers de fois en parlant de sa sœur. Mais son prénom restait inconnu au bataillon. Alors quitte à essayer de le mettre sur sa face, autant le faire au début de la conversation. 
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MessageSujet: Re: Tell me yes, honey → Grant.   Tell me yes, honey → Grant. EmptyMer 17 Juil - 19:05

« Et pourquoi pas, Barbie ? Tu te sens visée peut-être ? » Andie arqua les sourcils tout en écoutant le charabia de Grant. Barbie… C’était le pire surnom qu’on puisse lui attribuer. Elle n’avait rien d’une barbie girl. Ce n’était pas ce genre de fille à faire trop attention à apparence physique. Car là, elle faisait juste attention à son hygiène de vie. Ce n’était pas la fin du monde de faire ça. Il était préférable de sentir bon, que de puer le bouc. La demoiselle ne pensait pas qu’il était aussi ironique. Il cachait tellement bien son jeu. Ca lui apprendra de ne penser qu’au physique et de ne pas penser à la personnalité. C’était la leçon de morale dans l’histoire. « Arrête de m’appeler Barbie, je ne suis pas refaite moi. » dit-elle. Mais sérieusement. Barbie quoi. Le pire surnom au monde. « Ce n’est pas une crise d’hystérie. C’est juste que je pense que le grand Grant doit mieux à faire. M’enfin, si tu n’as pas de vie ce n’est pas mon problème, après tout. » Elle ajouta, à son tour un sourire sur son visage. Puis elle écouta le mentor du sept parlait des mentors. Oh dieu. Ils étaient si inintéressants que ça ? Andie pensais qu’ils étaient cool, des gens sociables, des personnes normales quoi. Mais à priori, non. « Ils sont si chiants qui ça ? Ce n’est pas la fin du monde de tuer, faut s’en remettre. Ils devraient plutôt être contents d’être en vie. Qu’ils sont égoïstes. » Mais la jeune demoiselle changea vite d’avis sur le vainqueur de la première édition. Il n’était pas seulement ironique, oh non, il avait les chevilles qui enflaient. Elle fixait la hache volait. « Merci du tuyau. » dit-elle bluffait par ce qu’elle venait de voir. « Je vois que monsieur maîtrise la hache. » ajouta-t-elle impressionner par la capacité du jeune homme.

« Comme si ça t’intéresser de savoir mon prénom. Et évite de m’appeler Barbie, sérieusement, ça m’énerve au plus au point. C’est la pire insulte qu’on m’ait dise. C’est comme si je t’appelais… Gargamelle. Tu n’as rien en rapport avec lui. Comme moi, je n’ai rien en rapport avec Barbie. »  Dit-elle en arquant, de nouveau un sourcil. Mais d’un autre côté, Barbie était plutôt un compliment. La plastique blonde était plutôt pas mal. « Sinon, toi qui est mentor. Tu as des conseils pour moi dans l’arène ? Essaye de te rendre utile. » Elle rigola pensant qu'elle payerait pour cette dernière phrase. Elle allait se prendre un gros vent, un très gros vent. Elle espérait juste qu’il soit assez cool pour lui donner des tuyaux. « Dans le district deux, personne n’à gagner. Ils sont tous nuls quoi. Regarde comment ma sœur est morte. » Andie soupira. C’est vraie, Alix avait toutes ses chances de gagner, mais non, cette conne de première fit n’importe quoi et explosa avec un autre tribut. Qu’elle blonde. « Heureusement, nous sommes pas tous comme ça. Dieu merci j’ai envie de dire. » Ajouta-t-elle en rigolant. Au fond, elle ne riait pas trop. La jeune tribut du deux avait très peur de crever comme ça sa sœur. Le Capitole est très créatif ces dernières années et ça lui faisait de plus en plus peur. Donc si Grant était un minimum amical, et s’il lui donnait des petits conseils, peut-être qu’elle arriverait à sortir vivante de cette arène.
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MessageSujet: Re: Tell me yes, honey → Grant.   Tell me yes, honey → Grant. EmptyJeu 18 Juil - 22:17


« Ma vie va très bien, merci de t'en soucier... Enfin, si on omet le petit con de tribut que j'ai cette année. » Répondis-je d'une voix sarcastique mais avec un demi-sourire sur les lèvres. D'ailleurs, en parlant de ma vie, j'avais hâte d'aller retrouver ma famille au village des vainqueurs. Enfin "famille" était un bien grand mot, dans le sens où je n'habitais qu'avec mes deux fils. La période des Hunger Games était une sorte de break dans mon rôle de père. Des vacances, si vous préférez. Et rien de tel que de se foutre de la gueule du peuple pour se remettre d'aplomb. « On est au moins d'accord sur ce point. » Lui répondis-je suite à sa remarque sur les mentors. Pourquoi se torturer l'esprit avec des morts lorsqu'on pouvait vivre riche et sans contraintes ? Ça me dépassait.

Après ma petite démonstration et un compliment semi-voilé, elle fit mine d'être outrée par mon surnom. Beh quoi ? Elle aurait préféré Cruella peut-être ? Et puis bon. Si elle voulait que j'arrête, elle n'avait qu'à bien gentiment me le donner, son foutu prénom. Sérieux, les meufs, c'est d'une complexité et d'une contradiction incroyables. « T'es blonde, t'es bien foutue, ces points communs me suffisent. » Un air narquois s'installa sur mon visage. Elle était bien foutue, ça, c'était clair et net. L'une des seules meufs pas trop chelou de cette année en fait. « D'ailleurs, comment tu veux que je t'appelle autrement si tu m'files même pas ton prénom ? » Elle allait finir par me le donner. Mais c'est vrai qu'en réalité, je m'en carrais pas mal. Comme quoi, elle avait su cerner cet aspect de ma personnalité, c'était déjà ça. Si j'avais dû me taper une potiche blonde type, ça m'aurait vite fait chier.

M'ouais des conseils. Si ça pouvait aider à envoyer le petit con de Lucca dans une tombe... « Qui te dis que je veux être utile ? Vous voir crever à l'écran ne m'empêchera pas de dormir, tu sais. » Commençais-je d'un ton ironique. J'étais sorti de l'enfer, et je ne comptais certainement pas y retourner. Donc si les gamins de mon district voulaient me faire chier... Ils n'avaient qu'à sortir de leur bouse tous seuls. Je ne leur devais rien. « Mais comme t'es mignonne, je vais quand même te donner un conseil : ne fais jamais confiance aux autres. Et encore moins à tes alliés. Trahis avant d'être trahie ou t'auras l'air bien conne. » Beaucoup d'alliances foireuses avaient bousillé les pronostics lors des éditions passées. Genre la meuf du quatre qui s'était faite plantée lors de la troisième arène. Ou le gars mort une faux dans la tête alors qu'il tuait quelqu'un pour protéger son "amie" lors de la cinq. Les exemples étaient nombreux et variés.

Sa sœur avait effectivement subi une mort plutôt ridicule. Et le district deux représentait en quelques sortes la disgrâce des carrières, puisqu'ils n'avaient toujours pas de vainqueurs. « Si ça peut te rassurer, j'te trouve moins empotée que tes prédécesseurs. » Depuis quand je m'étais mis en mode "je rassure les gnomes" moi ? En même temps, c'était à moitié vrai. Fallait voir comment certains étaient morts. Genre l'autre connard qui s'auto-noie, ou justement sa frangine qui s'auto-explose la tronche. « Et puis, vu les candidats de cette année... Franchement, t'as toutes tes chances. » Ouais, ils battaient des records de nullité pour la neuvième édition. Une pluie de mauvaises notes lors du passage devant les juges. Et rien qu'à les voir aux entraînements, fallait pas être Einstein pour comprendre que c'était des bras cassés quoi. Sauf peut-être le gars du un. « Faut juste que tu te mettes pas à dos les mauvaises personnes. Genre le type du un. » Manquait plus qu'elle ne s'allie pas avec lui et qu'elle choisisse de se trainer des boulets. Mais je m'en faisais sans doute pour rien, puisque les carrières s'alliaient généralement avec les carrières...
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