Nos deux tributs finalistes, le premier provenant du district 7, Bartholomew Dawkins et le deuxième, venant du District 9, Jan M. Bluerock, se retrouvent chacun dans des pièces différentes. Devant eux se tient une porte, une grande porte rouge ornées de rubis flamboyants. À leur gauche se trouve un trou, ce trou est assez grand pour recevoir des choses en son antre, mais pas un humain. Sur la porte mentionnée ci-haut, se trouve un panneau où est indiqué ceci:

« Débarrassez-vous de toutes vos possessions. Soyez nu face à nous. Nous vous contrôlons encore et toujours. Videz-vous de vos souvenirs, de vos projets, de vos sentiments. C'est bientôt terminé, mais vous n'aurez plus rien. »

Bien sûr, le Capitol a vu à changer les mots pour la rediffusion Capitolienne. Les tributs essaieront donc d'ouvrir la porte mais elle sera verrouillée. Bonne chances, tributs.

PS: Gardez vos sous-vêtements, quand même

Cette nuit avait été la moins bien de mon séjour ici. Au début, j'évitais les coulis en essayant de me reposer, puis tombant de fatigue, je me suis endormi pour l'équivalent de cinq heures, avant qu'un coulis ne me brûle la fesse gauche. Un cri se vociféra alors dans toute la piège volcanique. Heureusement, j'avais garder un peu de crème pour mon bras qui était valeureusement guérit. J'en étendis donc sur ma fesse gauche, et attendis le reste du temps en évitant les coulis qui veulent ma peau. Après au moins sept heures la porte se déverouilla. J'avais mangé la moitié de brownies et le BN qui restait dans le sac de la petite du un. J'avais aussi bu toute l'eau restante. Je n'avais plus rien de comestible sur moi. J'aurai encore mangé un boeuf, mais le demi-brownies et le BN devaient êtres assez pour cette dernière journée d'arène.

Je sorti donc, dans la chaleur intense. Marchai plusieurs heures pour enfin arriver à une porte. Avant d'entrer, je regardai délicatement ma fesse et remarqua, qu'avec les heures données, elle était guérie. Cette crème était magique ! Mais il ne m'en restait plus, malheureusement. Donc, j'entrai enfin dans cette "pièce". Elle ne contenait qu'une autre porte à un mètre, puis un trou vide sur ma gauche. Avec ce qui était écrit sur le panneau, je devinai ce qu'il me fallait faire. Je me dénuda alors, gardant mon sous-vêtement, et jetant tout, absolument tout, dans le trou. Ce n'est que là, que la porte se dévèrouilla. J'y étais, voici la finale. Je vais gagner. Je vais tuer ce dernier tribut. Tribut du neuvième district, prépare toi à souffrir.